Qui es-tu Alaska ?, John Green.

Titre : Qui es-tu Alaska ?

Auteur : John Green.

Parution Fr : mars 2005.

Éditeur : Gallimard.

4° de couverture :

Miles Halter a seize ans mais n'a pas l'impression d'avoir vécu. Assoiffé d'expériences, il quitte le cocon familial pour le campus universitaire : ce sera le lieu de tous les possibles, de toutes les premières fois. Et de sa rencontre avec Alaska. La troublante Alaska Young, insoumise et fascinante.

Pourquoi ce livre :

J'ai décidé de lire ce livre pour me réconcilier avec John Green, car en effet,  j'ai détesté Nos étoiles contraires. J'ai trouvé l'histoire trop simpliste, Hanzel trop cynique, et les retournements de situation trop évident et attendu. Rien n'était surprenant dans ce livre selon moi. Bref malgré un sujet dur et une histoire émouvante je n'ai pas du tout apprécié cette lecture, et je voulais vraiment savoir si c'est juste le livre, ou carrément l'écriture John Green que je n'ai pas aimé. 

Avis :

C'est donc l'histoire de Miles, un garçon de 16 ans qui décide de poursuivre ses études dans l'internat de Culver Creek car il est en quête du "Grand Peut Être" selon une formule de Rabelais. Il est incollable sur les dernières paroles des gens et adore lire des biographies.

Dans cet internat, il rencontre Chip, alias le colonel, Takumi et surtout Alaska, une fille un peu étrange qu'il n'arrive pas à cerner. Ils vont devenir amis et ensemble ils vont monter des blagues contre les "Weekendeurs", les pensionnaires qui rentrent chez eux le weekend. 

Les titres des chapitres sont d'abord un compte à rebours avant l'évènement du livre, puis un décompte des jours qui suivent cet évènement, c'est une façon intéressante de marquer le temps et qui permet de bien ce repérer dans le temps de l'histoire. En gros on peut couper l'histoire en deux parties, l'avant et l'après.

J'ai beaucoup aimé la première partie de l'histoire, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'humour dans cette partie. En revanche la deuxième partie m'a moins intéressée. Je l'ai même trouvé longue parfois.

Cela dit, c'est pari gagnant pour ce livre, il m'a réconcilié avec John Green, même je ne sauterais pas tout de suite sur un autre livre de lui.

Citation :

Comme je vous le disais, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'humour dans ce roman, notamment dans les paroles de Miles, et il a beaucoup trop de phrases que j'aurais envie de citer, alors je ne vais en mettre qu'une, la première qui m'a fait rire !

"J'ai commencé à nager, une nage de sirène argentée amputée des deux bras."