Waste Experiment, Sophie Dabat. (Mini chronique #55)

 Titre : Waste Experiment.

Auteur : Sophie Dabat.

Parution Fr : 2019.

Éditeur : Hachette.

4° de couverture :

Rosalie est tombée amoureuse du garçon le plus populaire du lycée. Mais de reine, elle est devenue le souffre-douleur officiel, celle sur qui tous s’acharnent. Un jour, prise d’un accès de rage, elle attaque son principal bourreau… qui meurt sous ses coups.

La société veut faire de Rosalie un exemple. Mais si la loi la condamne à mort, elle lui offre une autre option : l’enfermement dans un Waste, un no man’s land aux conditions de vie inhumaines. C’est ainsi que Rosalie est larguée dans la centrale nucléaire défectueuse d’Ake-Kule en Chine. Là-bas, elle doit se faire une place parmi les autres détenus et trouver de quoi se nourrir. Mais surtout, elle doit survivre aux radiations et à la violence omniprésente.

Alors que tout meurt autour d’elle, Rosalie décide qu’elle ne sera pas une victime du Waste et qu’elle ne partira pas sans se battre.

Avis :

Holà todos !! Aujourd’hui je vous parle de Waste Experiment, un livre dont je n’ai pas beaucoup entendu parler jusqu’à présent, mais franchement c’est pas plus mal … Oui j’ai abandonné cette lecture !

Waste Experiment c'est l’histoire de Rosalie, une jeune fille victime de harcèlement scolaire, qui suite à une énième brimade tue son bourreau. Elle se retrouve condamné à une peine de prison, ou plutôt elle est expulsé dans un Waste, une zone trop irradié pour y vivre en toute sécurité.

Je m’attendais à trouvé un monde un peu plus futuriste, pas de le sens plus technologique, mais dans le sens post apocalyptique etc… Finalement cette histoire ce passe maintenant. 

J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, j’ai trouvé le début un peu lent et bien que Rosalie m’ai fait de la peine, je ne me suis pas attachée à elle. Je me dit que peut être que si l’histoire avait commencé direct dans le Waste et qu’on avait découvert le passé de Rosalie au fur et à mesure ça m’aurait plus plu. Et un point de vue subjectif aussi, ça m’aurait sans doute permis d’avoir plus de compassion pour Rosalie.

★☆☆☆☆☆